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Après des décennies d’expérimentations radioactives dans le plus grand secret, une chape de plomb repose toujours sur leurs possibles conséquences sur la population locale. Pourtant de nombreuses sonnettes d’alarme sanitaire sonnent, selon un document de l’intercommunalité en collaboration avec l’Agence Régionale de Santé (ARS), 52 % des décès dans la commune de Courtry sont dus à des tumeurs cancéreuses, contre une moyenne nationale de 20%, dont un florilège de cancers de la thyroïde, un cancer rare et agressif.

 

 

Cependant, pour l’ARS, rien ne met en cause la radioactivité du site, contactée, l’agence affirme que ses conclusions tiennent toujours. Pour les malades et leurs familles, c’est l’incompréhension, comment une commune sans particularité mis à part celle du fort, peut-elle subir une telle explosion de cas de cancers ? Même si des procès sont en cours pour déterminer la responsabilité du CEA dans cette affaire, l’omerta semble régner sur le dossier.

Un cancer pour les environs

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